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Naviguer autrement … en Bretagne

Naviguer à nouveau et encore et autrement ? oui, bien sûr, mais dans sa version côtes bretonnes cette fois.

     Un projet porté par Alain depuis plusieurs années : un voilier, un équipage d’adhérents du VdE, des escales d’embarquement et de débarquement en fonction des choix et des disponibilités de chacun

Louer un voilier ?

  • Plus besoin puisque ENAWEN II, l’OLYMPIC SEA 42 de Michel est mis à disposition par son skipper

L’équipage ?

  • 7 adhérents se sont très rapidement inscrits pour une, plusieurs escales ou … la totalité de la croisière

L’objectif ?

  • Descendre jusqu’à l’île d’ Yeu et en remonter suivant les aléas de la météo

C’est du 25 mai au 1er juin que s’est déroulé cette « croisière »

Loctudy, Port-Louis, Le Crouesty, l’ Herbaudière et retour par Le Crouesty, Port-Louis, Concarneau et Loctudy, soit 250 milles nautiques parcourus en 7 jours de navigation et une escale à Port-Louis pour raison de 6 Beaufort annoncé et … de face.

Et la croisière ?

Le mieux est de laisser les équipiers embarqués s’exprimer et donner leurs impressions.

 

Sophie :

« La première journée prévoyait 36 mn de navigation de Loctudy jusqu’à Port Louis.

     Le clapot du canal d’entrée de Loctudy passé, on décide de notre stratégie.

     Le vent vient de l’Est, selon les prévisions il tournera au Sud un peu plus tard dans la journée.

     L’équipe se met d’accord de tirer un long bord jusqu’aux Glénan, virer de bord, manger les croissant apportés par Pierre-Yves et de suivre notre cap jusqu’à Port Louis. Jusqu’aux croissants, on respecte ce plan. Le vent décide de ne pas tourner au Sud comme prévu et nous louvoyons vers notre destination, permettant à l’équipe de perfectionner les virements de bord.

     Entre des rencontres avec les dauphins, on avance, mais pour ne pas arriver trop tard, nous décidons de gagner quelques milles au moteur dans l’après-midi.

     Après avoir savouré une excellente quiche préparée par Anne, on passe l’île de Groix et la proximité de Lorient se fait sentir sur le plan d’eau avec un Trimaran, des planches à voiles à foils et des dériveurs qui naviguent à côté de nous.

     On arrive à Port Louis vers 18h15, après c’est l’heure de rentrer pour moi et l’heure de l’apéro pour le reste de l’équipe. »

 

Anne :

« Samedi 24 Mai,

    Second bord sur Enawen II, nous sommes passés hier soir déposer l’avitaillement et bien sûr cela c’est terminé par un apéro d’autant plus convivial que Catherine venue nous rejoindre avait amené des langoustines …

     Certains ont choisi de dormir à bord les autres ont préféré leur lit….

     Mais aujourd’hui c’est le départ. A 9h tout le monde est paré première étape…la pompe à gasoil… puis cap sur les Glénan afin de relier Port Louis où nous espérons arriver en milieu d’après-midi et en profiter pour visiter le musée de la marine.

    Le vent est au rendez-vous mais … dans le nez évidemment qu’importe nous allons tirer des bords. Vent établi à 15-18 nœuds le bateau fonce à 6-7 nœuds. Voici les moutons, Penfret et saint Nicolas, on vire, voici Penfret et saint Nicolas on revire, voici Penfret et Saint Nicolas on rerevire … l’ETA recule dangereusement faut-il envisager les quarts de nuit ? Finalement ce sera la risée gasoil, quelques gouttes de pluie : nous remettons le Bimini, une petite visite de dauphins mais… nous arriverons quand même trop tard pour le musée !!!

Sophie nous quitte déjà : Lola attend sa maman…

Nous c’est l’apéro qu’on attend.

Dimanche 25 Mai

     Excellente nuit dans la cabine arrière tribord pour moi toute seule 😴, il a plu cette nuit mais c’est une journée ensoleillée qui nous attend.

     A 9h30 le moteur tourne c’est le départ direction le Crouesty. Tous les voyants sont au vert : du soleil, du vent travers, tournant grand largue puis arrière. Certains se régalent à la barre, je crois même qu’ils prennent goût à la barre à roue (il faut dire que celle-ci est parfaite)

     Avec des pointes à 8 nœuds nous arrivons au Crouesty vers 14h et après quelques difficultés pour comprendre où se trouvaient les numéros sur les cat-ways nous voici prêts pour un déjeuner au soleil.

     Hélas c’est pour moi la fin du voyage, et c’est avec tristesse que je les laisse entre hommes pour continuer cette belle balade. »

 

Pierre-Yves, ma croisière, sur Enawen 2 :

     « Après l’avitaillement du Yacht drivé par Anne aux petits oignons nous profitons d’un apéro dinatoire idyllique dans le cockpit par un temps calme et ensoleillé avec une superbe vue sur la rivière et l‘Ile Tudy .

     Le vent annoncé à l’est est bien présent ce qui me comble pour pouvoir tester à la barre au près serré ce voilier que je pense taillé pour cette allure. Aucune déception, le voilier est bien équilibré, stable sur sa route même quand les risées augmentent la gite. Pas utile de s’accrocher à deux à la barre ou d’avoir une stabilité de Sumo pour ne pas tourner avec.

     Je suis étonné par la douceur de cette barre sans la moindre sensation de tirer des kilomètres de câble pour actionner le gouvernail. Sa compensation est visiblement bien proportionnée, le système de barre hydraulique y contribue certainement pour beaucoup mais n’empêche pas pour autant d’avoir un retour de force agréable quand le bateau part légèrement au lof dans la risée ou poussé par une vague.

     Le seul bémol est de constater que malgré toute l’attention que j’y mets, la barre automatique se débrouille bien mieux que moi sans se fatiguer en optimisant la route.

     Peu importe les bords plus ou moins carrés, on avance bien. Le courant et la distance auront raison de nous, il était temps de confier la barre au pilote auto et de démarrer le moteur afin de nous amener à temps à Port Louis pour le repas du soir. De magnifiques coques anciennes décorent les pontons, cette escale est bien agréable.

     Une petite frayeur le matin au démarrage du GPS qui dit non, devra-t-on naviguer à l’ancienne ?

    Il était temps de sortir les chevaux à une allure débridée pour mettre en difficulté cette coque. Eole nous a entendu et nous allons moyenner à 7 nœuds pour rallier Le Crouesty au largue toutes voile dehors. C’est la traversée ’’ paysage ‘’car nous longerons de très près la presqu’ile de Quiberon, en rasant la Teignouse , le GPS était reparti. Toujours pas de défauts trouvés, on a battu un record de vitesse, ce bateau tient ses promesses, il aime bien aussi quand on lui lâche la bride. Le port du Crouesty est un vrai salon de bateaux, on peut les contempler tous plus rutilants les uns que les autres exposés dans leur catway.

     On fait un sort au rôti comme des gouelles pour recharger les accus.

     Heureusement le vent qui semble absent nous préparait seulement à ses caprices, est -ce l’effet des éoliennes que nous allons côtoyer de trop près, toujours est t- il qu’il nous oblige à déjouer ses tours en adaptant la route en zigzagant entre les moulins à vent, les récifs, les cargos et les grains. Nous en sortons indemnes tel Don-Quichotte après un déploiement sportif du tangon pour adapter la voilure. On est sur un gros voilier et constatons que les manœuvres demandent plus de précautions que sur un petit Marplij. Je termine avec plaisir à la barre cette descente sur Noirmoutier avec un vent stabilisé qui monte ainsi que nos pointes de vitesses au-dessus des 8 nœuds.

     La manœuvre est délicate pour accoster sous le vent du cat-way mais ce fut moins difficile de nous amarrer ensuite autour d’une bière. Je vais rater les paupiettes et la chouette ambiance du bord mais je sais que je ne serais pas perdant, on m’attend comme un prince à Nantes.

Merci à tous pour cette intense croisière. »

 

Alain :

     Semaine de pure voile ,avec tous les temps, vents ,houle .
     Confirmation qu’ENAWEN II est un super bateau, dans le petit temps comme dans les 18 à 20 noeuds et plus sous les différentes allures. Découverte que la barre a roue dont je n’étais pas fan, est cool, douce et à la fois avec de la fermeté et le pilote hydraulique impeccable. Associé à tout cela un équipage super sympa et voileux.

A refaire avec d autres équipiers

 

Marcel :

     Ayant fait toute la croisière ‘’ Naviguer autrement ‘’  de A à Z, je vous propose de suivre cette nav sous la forme d’un abécédaire

A : comme Appel du large et  Appareillage de Loctudy, Accostage et Amarrage à Port Louis, Le Crouesty, l’Herbaudière, et aussi A comme Apéro ( 100% de réussite, aucun loupé ) et enfin un grand A comme Amitiés qui se sont développés tout au long de cette Aventure.

B : comme Botta, prénom Alain, super Barreur,  navigateur qui se laisse Bercer par les vagues et de sa voix Bleue, un peu Bruyante nous informe d’où vient la Brise,  quel Bonheur.

C : comme Cata, non pas Catastrophe, même si quelle que fois on était Creux de la vague ….. mais aussi  C comme Catamarans qu’on a pu admirer à Concarneau .

D : comme Daniel, marin de Penmarch qu’on pourrait appeler le Dauphin ( au sens propre comme au sens figuré ) : il est le dauphin du Capitaine Michel ( ou son second )  mais il est aussi d’une certaine manière, enjoué, social,  rieur et bon vivant comme le cétacé Dauphin

E :  Enawen bien sûr mais aussi E comme son Equipage, quoique Ephemere la somme des Expériences de son Equipe nous a permis de surfer sur l’Ecume des vagues de l’ocean .

F : comme Foc ou plutôt génois sur Enawen, son envoi est Facile et les virements de bord sont à Frémir de plaisir

G : comme Gaffe, 2 sens pour ce mot : 1) perche munie d’un croc et 2) pied de table amovible de Enawen qui permet de faire des Gaffes

H : Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage ( J Du Bellay ), Homme tu chériras la mer ( Baudelaire ) ; nous avons été tout au long de cette aventure HEUREUX

I : comme Ile de Noirmoutier ou Enawen II accosta le 27 Mai, Intendance étant parfaite ( Merci Anne )  les repas pris à bords ont été Incroyablement délicieux. Ironie du sort on a décidé de ne pas se diriger verra la 2ème Ile ( voir Y ) et de reprendre une route Nord le lendemain.

J : comme  J’aime ( pas les menus minceur ), J’aime le Jambon et les saucisses

K : comme Kenavo, après un dernier apéro le 1er Juin, dinatoire celui-là, merci à Anne et aux épouses de nos marins, nous nous sommes Kittés, des étoiles plein les yeux et des souvenirs plein la tête .

: comme Lune, quand le sage montre la Lune, L’imbécile regarde le doigt,

M : comme Michel bien évidemment, le Meilleur Captain, le Marin expérimenté, le Mentor du groupe, Maitre à bord et toujours à la recherche du Mieux, pour le bateau mais aussi pour l’équipage, c’est un Must, c’est un Merveilleux patron à bord.

N : comme Naviguer autrement, titre de la croisière

O : comme la question : que serait une douche sans O …….. une Duche bien sûr

P : comme Pétole  ( ce qui veut dire Pas un ‘’ Pet de vent ‘’ : une grande Pétole à l’aller le 25 qui nous a obligé de faire quelques heures de moteur et une petite au départ de Concarneau, mais ceci nous a permis d’envoyer le spi de 130m2 et de surfer sur l’eau avec une vitesse entre  6 et 7 nœuds dans un vent ne dépassant pas 10 nœuds.

Q : comme Quiberon 47°29’03’’ N _ 3°07’09’’, on l’a bien longé à l’aller mais Quasiment pas rasé, 

R : comme Raser ; nouveau jeu de Alain et Michel consistant à faire peur à l’équipage.

S : comme Sous-Marin, on n’a pas croisé de bateaux noirs pendant la nav mais Marcello a eu l’opportunité de raconter son expérience de jeunesse à bord des sous-marins de la Royale

T : comme Tagliatelles au saumon ; repas apprécié de l’équipage, les assiettes étaient tellement bien essuyées qu’on n’a pas eu besoin de faire la vaisselle.

: prononcer you, You are the best team.

V : comme Voile, Voilier, Vitesse ; Enawen a ces 3 qualités, en partant de l’Herbaudière avec vent en rafale de 25 nœuds, on filait en pointe à 8 nœuds avec 3 ris dans le génois et 2 ris dans la GV.

W : comme Whisky, cigares et petites gâteries ( Life is good )

X : No comment.

Y :  comme Pierre Yves, le 2eme barreur de luxe pendant la croisière, et aussi un yachteur de première.

: fin de l’abécédaire les Zamis

Marcello

 

Daniel :

Naviguer autrement , mais pas loin !

     Le VdE élargit sa gamme de possibilité de croisières.  La récente acquisition du OLYMPIC SEA 42 de Michel pour un projet de transatlantique, lui a donné l’idée d’un nouveau type de sortie pour «naviguer autrement…mais pas trop loin»

     Pour roder cette idée, une première expérience a été proposée du samedi 25 mai au samedi 1er juin. Ce voyage en plusieurs étapes a permis de renouveler l’équipage en fonction du goût et des possibilités de chacun. Avec une logistique adaptée, des retours à terre plus ou moins rapides ou des relèves d’équipier ont été possibles. Ils ont permis à chacun de construire sa propre durée de «navigation à la carte»

Récit de Daniel sur la période 28 mai au 1er juin

28/05 : L’Herbaudière  – Le Crouesty  (42 NM)

     Daniel étant parti la veille de Kérity avec son véhicule, il en remet les clés à Pierre-Yves qui remonte sur Nantes. Il est enchanté de sa croisière de 3 jours sur tous les points, y compris la météo. Pour Daniel, et ce n’est plus qu’une habitude, les prévisions météorologiques sont très mauvaises pour les 2 prochains jours ! Ce qui impose un gros changement à la destination suivante : Ile d’Yeu oubliée, alors retour vers Le Crouesty. Place à la nuit : dodo !

     Amarres larguées mardi à 9h45 . La mer est agitée, le vent est soutenu avec des rafales à 22 noeuds. Mais le cap se maintient tout le long des 42 milles nautiques sur un seul bord au prés serré. Le bateau est rassurant, il se gère avec l’assistance d’ une barre à roue douce et précise et un pilote automatique magistralement réactif. Mais le froid nous engourdit et ça gite fort jusqu’à la nausée…le seau a un peu servi !

     On rase de très près le champ des 80 éoliennes de Saint-Nazaire, les gros cargos en stand-by, puis 2 navires militaires en exercice dont un porte hélicoptères étrange avec une rampe de lancement inclinée (?) On aperçoit au loin vers la côte le phare du Four du Croisic (emplacement où git l’épave de L’Hermione originale) 

Performance : 6 heures de navigation, moyenne 7 nœuds .

Intendance : Salade de riz le midi et pâtes au saumon le soir. Merci Anne et Marcel

29/05 : Le Crouesty – Port Louis (38 NM)

     Départ 10h30. Le vent est toujours aussi fort et la houle plus haute que la veille. La masse d’ENAWEN II absorbe au mieux les à-coups, mais ça bouge fort …et il fait toujours froid. Mais la prise en préventif des petits comprimés « Mercalme » laissés par Anne ne nécessitera plus l’usage du seau pour les plus sensibles.

     Avec 2 ris dans la GV et 3 voire 3,5 dans le génois, plus 6 virements de bords on atteint Port Louis en 6 heures

     Sous la surveillance étroite de Michel, Daniel est à la manœuvre pour l’arrivée au catway  de Port Louis.

     Performance : 6 heures de navigation, moyenne 6,4 nœuds

     Intendance : Salade de riz le midi et brandade de morue le soir. Merci Anne et Marcel

     La météo force à rester prudent. Le lendemain est déclaré jour de relâche.

 

30/05 : Relâche à Port Louis

Programme allégé

     petit déjeuner avec croissants tout chauds. Merci Alain

     matinée : matelotage pour Alain et Michel, couture pour Marcel et Daniel

     après midi : sieste … puis visite de l’imposante citadelle, de son Musée de la Marine, de celui  de la Compagnie des Indes et de l’exposition sur la navigatrice Virginie Hériot.

     Jambonneau-pommes de terre le midi et dîner offert par Michel à son équipage le soir au Tan’Pouce

31/05 : Port Louis – Concarneau (33 Nm)

     La météo s’est améliorée et tout va bien à bord. Tout le monde passe un bon moment à la barre. On bat des records de vitesse tous les jours. Partis à 9h45 et arrivés à 15h30  pour avaler 33 milles nautiques. Approche au cat-way par Alain, vite et bien !

     Performance : 5h45 de navigation, moyenne 5,8 nœuds

     Intendance : Salade taboulé (et encore du riz !) le midi. Merci Anne et Marcel. Et dîner offert, à leur tour, par les équipiers en l’honneur de Michel au Croguervol ( Guy le propriétaire a changé mais pas le style toujours sympa)

1/06 : Concarneau – Loctudy (19 Nm)

   Il y a 12 milles nautiques à courir et le vent sera modéré. Le test du spi est dans les têtes depuis le départ de la croisière. Le spi est alors sorti de son sac sur le ponton (impressionnant avec plus de 15 mètres de long), on découvre la chaussette d’enroulement et on attache les 2 écoutes. Tout est remballé et on quitte Concarneau vers 11h00. Après de courts essais de voiles en ciseau, c’est le spi qui va assurer la vitesse avec un vent devenu mou. Malgré un défaut de montage du point d’amure, le spi et ses 130 m2 fait son office et permet des vitesses très honorables.

     Attraction inattendue à l’entrée du port de Loctudy : une impressionnante démonstration de flyboard tout près de la Perdrix.

     Décidément ENAWEN II est un bon bateau, efficace et rassurant. Il nous amène à 16h00 au ponton de Loctudy pour être plus tard rejoints par nos amis du VdE pour un apéro dinatoire richement doté. Merci à Anne, Pierre-Yves, Catherine, Lise …et aux autres Hélène, Nicole et Guéno pour nous avoir ainsi retrouvés.

Performance : 4h45 de navigation, moyenne 4 nœuds

Intendance : Oups j’allais oublier… Merci à Anne et Marcel pour le jambon Taboulé du midi de ce dernier jour !

 

et Michel :

Un grand merci à tous les membres de l’équipage pour leurs compétences, leur implication à la navigation et aux taches du bord, et surtout pour leur bonne humeur 🙂

… et quelques vidéos en bonus


6 commentaires

  1. C’est un plaisir de vous lire ! Merci à vous tous pour ce partage 👍.
    Une très belle navigation pour Enawen II : chouette de le voir sous spi….
    La formule « naviguer autrement » a fait ses preuves, une très bonne idée !

  2. Bravo à l’ensemble des rédacteurs et plus particulièrement à Marcello pour son abcdaire!
    Claude

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