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VdE – l’Hoëdicoise du 7 au 18 octobre

     La « Grande Croisière » de fin de saison proposée traditionnellement aux adhérents du Vent des Etocs était cette année une Hoëdicoise.

     Il s’agissait de « partir vers le Sud » et de passer par Groix, Belle-Ile, Houat avant d’atteindre Hoëdic si Eole nous en laissait le loisir.

     hoedicoise-3-copier2 voiliers avec ses 2 skippers et 1 équipier, disposant d’une quinzaine de jours, ont répondu présents :

  • COMPER (B-Jet) et Gilles qui embarque Guy
  • ENAWEN (Kelt 29) et Michel

     Dès le 3 octobre, chaque jour, les 3 participants étudient les cartes météo et ce n’est que le vendredi 7 qu’une fenêtre s’ouvre avec vent d’Est et grand soleil pour au moins 4 à 5 jours.

     Vent d’Est ? Bon on fera avec, en se disant pourtant qu’avec un peu de malchance il tournera à l’Ouest au retour pour l’avoir encore dans le nez 🙁

Vendredi 7 : Concarneau

     Les 2 voiliers sont à quai depuis plusieurs jours, 9h30, on avitaille le frais et à 10h les amarres sont larguées sous l’œil de Brigitte, Yannick, Nanard et Marc, venus nous saluer.

     Jean-Paul et KANENN MOR nous attendent à la sortie du port afin de nous faire un brin de conduite.

     hoedicoise-16-copierVent d’Est comme prévu avec du 3-4 Beaufort nous permet de faire route au près à 4-5 nœuds. Arrivée à Ar Guisty à 11h30, KANENN MOR nous souhaite bonne route et fait alors demi-tour pour rejoindre Kérity.

     C’est à 18h30, après 8h30 de navigation et 26 milles nautiques parcourus que nous nous amarrons au ponton visiteurs de Concarneau.

     Un premier Ti-Punch pris dans le premier bar rencontré sera suivi d’un diner au Croguervol, où nous sommes accueillis comme à l’accoutumée par le patron « Ah ! Revoici les pirates de Penmarc’h ! »

     Promenade digestive dans la ville close, où nous ne rencontrons pas âme qui vive avant notre retour à nos bords.

Samedi 8 : Groix

     hoedicoise-72-copierAprès une bonne et longue nuit réparatrice, un peu écourtée sur COMPER, réveillé à l’aube par la VHF que Guy avait oublié d’éteindre, c’est à 9h45 que nous quittons le ponton subrepticement, car, arrivés la veille après la fermeture de la capitainerie, nous n’avons encore vu personne à cette heure matinale.

     Nous trouvons du vent dans la baie et envoyons aussitôt les spis en naviguant vent arrière puis au travers. Sur COMPER, Gilles a un peu de mal à étalonner son nouveau pilote semi-auto suédois de marque « Guy Marine ». Après une « grosse molle », le vent revient et l’on dépasse les 5 et 6 nœuds sur les 2 bateaux.

     Arrivés dans le Port du Palais à Groix où toutes les places aux pontons étant réservées pour une régate, nous nous amarrons à couple sur une tonne dans l’avant-port.

     Seulement distants de quelques dizaines de mètres du rivage et de ses bars accueillants, nous devons quand même utiliser une annexe. Gilles ayant troqué son habituelle annexe (celle où une personne pagaie pendant que l’autre la gonfle en permanence pendant la traversée pour ne pas couler) il extrait de son coffre de cockpit une rutilante petite annexe de plage rouge permettant d’embarquer 1 personne et demie en un seul voyage.

    hoedicoise-116-copier Une fois gonflée et mise à l’eau, que fît-elle ? Pschitt bien sûr, et il fallut également embarquer un gonfleur (quand ça veut pas ! ça veut pas !) Après 2 voyages (bé oui 2 fois 1 personne et demie ça fait 3 personnes), « montée » jusqu’au bourg voir la girouette-thon sur le clocher de l’église, puis « descente » au port pour une tartine de houblon en terrasse et retour à bord pour le dîner avec l’annexe etc… etc… voir paragraphe précédent.

Dimanche 9 : Belle-Île

     Départ un peu retardé pour cause de descente à terre avec l’annexe … mais on en a déjà parlé.   Cap est mis sur Belle-Ile distante de 22 milles nautiques. Nous contournons la plage des Grands Sables, quand soudain un point rouge sur le rivage nous fait un instant espérer avoir retrouvé une veste perdue lors d’un précédent périple (voir le récit de la Ponantoise Sud). Hélas une observation plus poussée aux jumelles nous permet d’identifier le point rouge comme étant un feu installé à la Pointe de la Croix.

     Belle-Ile sera atteinte sous un seul bord au portant, sous spi pour les 2 voiliers, à une vitesse oscillant entre 6 et 6,5 nœuds avec des pointes à plus de 7 nœuds (7,2 sur ENAWEN)

     hoedicoise-208-copierLa capitainerie du Palais nous propose 2 places à l’entrée sur le ponton visiteurs (fait de bloc de plastiques imbriqués). Nous nous y amarrons près d’un bateau de pêche nommé « P’TIT GUY » auprès duquel Guy va tout de suite négocier de belles seiches que le patron lui offre spontanément.

     Puis c’est la routine comme à chaque arrivée dans un port, visite à la capitainerie, bière en terrasse, douches, apéritif (pris sur COMPER) repas (pris sur ENAWEN), le tout suivi d’une bonne nuit de repos comme à l’accoutumée.

     Sauf que là, non ! Le vent de Nordet et la houle rentrant directement dans le port trouvent tout naturellement nos 2 voiliers qui font rempart de leurs solides coques pour protéger la fragile citadelle Vauban.

     Nous sortons donc alternativement de chacun de nos voiliers, de nombreuses fois, qui pour resserrer ses amarres (afin d’éviter les coups de boutoir du bateau contre le ponton), qui pour les relâcher (afin d’éviter le grincement des aussières dans les chaumards), mais toujours pour trouver la moins pire des solutions qui en l’occurrence ne sera pas trouvée.

Lundi 10 : Hoëdic

     hoedicoise-258-copierLe coup de vent annoncé pour jeudi et que nous surveillions dans les prévisions météo arrive plus tôt que prévu pour mardi soir avec du 6 Beaufort et des rafales à 7. Nous décidons donc de faire cap sur Hoëdic, puis d’aller nous abriter mardi au Crouesty afin d’attendre la fin de la dépression.

     Avec l’intention de faire visiter l’Ile à Guy pour qui c’est une première, nous y arrivons tôt vers 16h. A l’entrée du Port de l’Argol, Gilles laisse passer ENAWEN qui penaud, mais heureux prend la dernière place visiteur aux catways (seulement 8 places visiteurs). Gilles, qui cale 30 cms s’amarre alors au nouveau ponton sur la plage dans le fond du port.

     Une fois les bateaux rangés, descente à terre, visite de l’ile, du fort, et recherche … d’un bar, pour étancher notre soif (attention ce n’est pas un choix, mais une obligation, car chacun sait bien qu’en mer on se déshydrate et qu’il faut boire avant d’avoir soif). Bon là ce n’était pas le cas … on avait soif, mais quand même !

     Las, tous les bars sont fermés sauf un qui doit ouvrir … à partir de 18h. Nous attendons donc devant avec une foule grossissante au fur et à mesure qu’arrivent tout ce que l’île comporte de population mâle déshydratée.

     18h25 la Trinquette ouvre le bar du même nom et tout le monde s’installe, se gardant bien de lui faire la moindre réflexion de peur visiblement qu’elle ne referme derechef son estaminet !

     hoedicoise-346-copierL’un de nous 3 commandant un pulco-citron, son œil interrogatif montre que cela doit faire quelques décennies que l’occasion de servir un tel breuvage ne s’était pas offerte à elle.

     Pendant ce temps Michel en profite pour récupérer des infos météos auprès des marins du cru.

     Retour à bord d’ENAWEN pour le repas des équipages : plat de pâtes au tajine (ouais faut tout essayer)

Mardi 11 : Le Crouesty

     Le coup de vent annoncé pour le soir et qui est déjà en préparation, 4 à 5 Beaufort avec des creux de plus de 1 mètre, nous incitent à partir avec 2 ris dans la grand-voile et le génois roulé au 3/4.

     hoedicoise-356-copierLe vent forcit encore et c’est au près que nous atteignons Houat avec quelques surfs à 8 nœuds enregistrés sur ENAWEN. Le pied !

     COMPER rentre dans le port de Houat, pour constater l’absence de ponton nous permettant d’y faire une petite halte et nous faisons alors route directe sur le port bien abrité du Crouesty.

     La capitainerie nous propose de choisir nos places aux pontons visiteurs, nous nous mettons donc face au vent en prévision des rafales d’Est annoncées

     L’après-midi est consacrée à du bricolage (comme d’habitude) sur COMPER, puis descente « en ville » pour ré-avitaillement en frais, en glace pour les glacières et en menus achats d’accastillage … pour le plaisir !hoedicoise-385-copier

     Le soir dîner de gala sur ENAWEN. Guy nous a préparé les seiches et nous les faits à la crème et au paprika accompagnées de riz au curry et poivrons 🙂

Mercredi 12 : escale

     C’est donc notre première escale forcée pour cause de coup de vent. Réveil un peu frais, 12° à bord nous font allumer aussitôt nos radiateurs de bord. La météo confirme du 5-6 avec rafales pour la journée ainsi que pour la matinée du lendemain nous laissant espérer un nouveau départ possible l’après-midi du jeudi.

     hoedicoise-397-copierAprès un café-croissant, Guy devant être de retour à Kérity pour jeudi en profite pour nous quitter. Nous voyons s’éloigner tristement sa « petite » silhouette sur le ponton, son « petit » baluchon sur le dos. Quel plaisir de le voir de retour 20 minutes plus tard suite à une erreur de lecture des horaires des cars devant l’amener à la gare ferroviaire. Un autre café et 1 heure plus tard, nous revoyons s’éloigner etc… etc… .

     Nous consacrons alors l’après-midi à une ballade (à pied) nous amenant sur les rives de l’intérieur du golfe, puis un ami de Gilles vient nous chercher pour nous amener diner « léger » chez lui (cassoulet landais)

Jeudi 13 : Port Haliguen

     Après un premier, puis un deuxième petit déjeuner, il est temps de faire le point météo : après 36 heures à l’abri pour laisser passer les 20 à 30 nœuds de vent, l’Hoëdicoise peut reprendre la mer. 2 voiliers désormais skippés en solitaire par Gilles et Michel font pouvoir faire route sur Port Haliguen.

     Ayant prudemment attendu que les rafales et la houle résiduelle se calment un peu, c’est à 14h30 que nous larguons les amarres.

     Au vent arrière, 2 ris dans la grand-voile et génois envoyé, nous allons contourner les Méabans avant de faire route direct sur Port Haliguen à 4-5 nœuds.

     hoedicoise-450-copierArrivée à 17h, 2 places au ponton visiteurs, puis direction la capitainerie pour nous acquitter de notre taxe de port auprès de 2 accortes et charmantes hôtesses. Puis le cap est mis sur le Bara’Gwinn pour une dégustation de tapas arrosées d’un fameux vin d’Argentine local. Retour enfin sur ENAWEN pour finir la soirée dangereusement avec un Whisky breton de chez Gwen Roc. Extinction des feux (chacun à son bord) pour un départ matinal (9h30) en direction de Lorient.

Vendredi 14 : Kernevel

     hoedicoise-481-copierNous partons contourner la Teignouse qui porte bien son nom, surtout en la passant à marée basse de grand coefficient (ici 1m de hauteur d’eau au-dessus du niveau le plus bas que peut atteindre le niveau de la mer au moment de la basse mer d’une marée de coefficient 120 ! c’est clair ?) Nous ne faisons pas le détour par le Sud de la Teignouse, nous ne prenons pas non plus le petit chenal de En Toull Bihan, mais coupons la poire en deux en contournant Iniz en Toull Braz

     Le courant contraire et les remous nous obligent à un petit coup de moteur pour nous en dégager, puis nous décidons de « passer à travers champs » ce qui nous oblige à une vigilance maxi sur quelques milles afin d’éviter les têtes de roches affleurantes à marée basse.

     hoedicoise-530-copier11h dans une grosse molle, nous tentons d’envoyer les spis. 13h un coup de moteur, puis des risées mais pas de vent établi, puis 1h de rencontres multiples avec la FREMM Auvergne qui est en essai à la mer depuis 1 mois, fait des ronds dans l’eau et semble venir plusieurs fois sur nous en faisant résonner sa corne pour nous faire changer de route. Nous ne faisons pas le poids et nous nous exécutons.

     Arrivée dans le port du Kernével, douche puis Fish and Ships au Tour du Monde.

Au vu des prévisions météo décision de 24h de repos.

Samedi 15 : escale

     Après une grasse matinée (toute relative pour certain) jusqu’à 9h, quelques giboulées nous incitent à bricoler pour l’un, flemmarder pour l’autre. Après un café pris au Tour du Monde, c’est sur ENAWEN que son skipper prépare un plat de pâtes à la crème et au chorizo.

     hoedicoise-591-copierLe soleil étant revenu, Gilles entraine subrepticement son camarade vers le parc à vélos (des antiquités du siècle dernier, non électriques) et l’oblige à en enfourcher un pour rejoindre Lorient, la cité de la Voile Eric Tabarly et la base de sous-marins.

     Faisant fi de son aversion pour tout effort inutile, ce dernier reconnait finalement, à son corps défendant, le plaisir de faire le tour de la rade sous le soleil déjà revenu.

Dimanche 16 : Concarneau

     Départ à 10h afin de laisser s’atténuer le coup de vent de la nuit (orages avec éclairs) pour une sortie de la rade de Lorient. Dès notre sortie de l’abri du port du Kernével nous sommes confrontés à une houle importante que nous subirons tout au long de la journée. La sortie se fait bout au vent avec une alternance de virements de bords à la voile, bientôt aidés par quelques risées gasoil pour éviter des bouées de chenal un peu trop familières.

     hoedicoise-652-copierNous nous trouvons alors en plein milieu d’une régate de voiliers habitables et assistons presque en direct live au chavirage de l’un d’entre eux qui se retourne après avoir perdu sa quille. Les équipiers sont sur la coque retournée rapidement rejoints par les bateaux sécurité et comité, bientôt assistés par le canot SNSM qui récupère l’équipage et propose de tenter de remorquer le bateau qui s’enfonce suite sans doute à une voie d’eau au niveau des gougeons de quille.

     Nous faisons alors route vers la baie de Concarneau sous un vent de force 4 à 5 Beaufort et une houle forte avec des creux de 2,5 m. à 3m. ENAWEN qui a pris 2 ris dans la grand-voile et roulé le génois au 3/4 passe bien la vague avec une gite « raisonnable » en filant ses 6 nœuds. Sur COMPER, qui a gardé toute la toile, on est plus à la peine, sa taille le faisant taper dans chaque vague, obligeant Gilles à les négocier à la barre l’une après l’autre.

     hoedicoise-307-copierC’est dans ces moments que Gilles apprécie à sa juste valeur la protection de son tout nouveau dog-house, installé à la veille du départ.

     Le soleil est encore au rendez-vous et ce n’est que du bonheur d’avaler la trentaine de milles nous séparant de Concarneau en 6 heures. Arrivée au ponton visiteurs, rangement du bord et départ en bordée dans la ville close se rafraichir d’une délicieuse glace.

     Un appel téléphonique de José nous apprend qu’il est venu nous y retrouver et nous rejoint après avoir visité le Marinarium.

      C’est donc l’occasion d’un Ti-Punch suivi de la dégustation de 3 barbues à l’écrasé de pommes de terres au Croguervol

     José nous quitte alors et nous rejoignons, solitaires, nos bords respectifs.

Lundi 17 : Sainte Marine

     La météo prévoyait du force 2 (une misère) de l’ouest (dans le nez) et du ciel gris avec des averses.

     Nous nous étions donc résignés à effectuer la douzaine de milles nous séparant de Sainte Marine au moteur sous un ciel d’hiver.

     Le départ avait donc été prévu pour une fin de matinée avancée et ce n’est qu’après visite à la capitainerie, douches, petit déj dans un « salon de thé », avitaillement aux halles de Concarneau… que nous larguons les amarres à … midi.

     hoedicoise-709-copierNous sortons de la baie de Port La Forêt, et là, divine surprise : du zef ! Quelques moutons sur la crête des vagues nous permettent d’estimer un force 4, une petite houle de bon aloi de 50 cms à 1 mètre et nous voilà partis au près à 4 puis plus de 5 nœuds au près.

     ENAWEN abat un peu pour gagner quelques dixièmes de nœuds en vitesse, alors que COMPER préfère faire du cap et serrer le vent au plus près. Les 2 options s’avèrent identiques en termes de résultat.

     Nous tirons donc des bords chacun de notre côté et nous nous recroisons régulièrement à quelques centaines de mètres près.

     Même le soleil est de la partie et c’est aux environs de 16 heures que nous sommes devant l’entrée de Sainte Marine.

     Presque tout le ponton visiteur est pour nous et le café de la Cale nous accueille pour un premier pot en terrasse.

Mardi 18 : Kérity

     hoedicoise-745-copierNotre dernier matin est illuminé par un magnifique arc en ciel au-dessus du pont de Cornouaille.

     Midi, le temps est orageux et nous nous équipons afin d’affronter d’éventuelles averses.

     La veille Marc nous ayons prévenu qu’il partait aujourd’hui vers les Glénan puis Concarneau en compagnie de KANENN MOR et ESPRIT DE SEL. Nous apprenons qu’ils sont en fait en escale « technique » à Lesconil.

     Nous naviguons sous voilure réduite en prévision des nombreux grains que nous voyons venir vers nous en provenance de l’Ouest, renvoyant la toile entre chaque mini-dépression.

     Au passage de Karreig Kreiz nous saluons « VHFement parlant » nos camarades à l’abri à Lesco et continuons à tirer des bords vers notre port d’attache.

     hoedicoise-763-copierIl est 16h30 quand Guy prend nos amarres au quai de Kérity.

     Sur 12 jours de croisière, dont 2 escales, nous en avons passé 11 sous le soleil ! Pas mal pour un mois d’Octobre !

     De l’Est bien établi, 200 milles nautiques parcourus, plusieurs îles visitées, une dizaine d’escales, un objectif atteint.

Une belle fin de saison 2016 !!!

La trace de la croisière ICI ou avec Google Earth LA

Deux petites vidéos en cliquant sur COMPER et sur ENAWEN

et « quelques » photos …


2 commentaires

  1. Merci aux 3 pirates de kerity …..j ai bien revee …bien rigolee comme sur enawen que je rejoindrai a la belle saison si le capitaine accepte une moussaillone et son equipier a bord a bientot et bravo a vous3

  2. Salut les marins,
    En voila un voyage qu’il est beau…….!
    Bravo aux reporters pour ce récit détaillé de la dernière croisière de l’année.
    Navigation « de conserve » en arrière saison profitant pleinement de l’été indien et des places de port plus disponibles.
    Nos deux « filous » m’ont fait rêver.
    Souvenirs de tout une époque …..sur des voiliers de location, quand des « Auvergnats » (d’adoption ou natifs) naviguaient dans ces eaux « salées » en buvant le « punch » (Le rhum c’est vraiment un breuvage de pirate! ) le St Nectaire à fond de cale….!

    Bravo à vous………..Jacoat

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